• Intake ongoing at Main Campus & Eldoret Town Campus

  • Join Us for the January, May & August Intake

  • More info Click here

Journal Article
Kenneth Odhiambo

Submitted by: Kenneth Odhiambo, School of Environmental Studies and Natural Resource Management

View profile

Stocking and Regeneration Potential of Selected Indigenous Timber Tree Species at Kakamega forest, Kenya

Abstract

Past ecological studies within Kakamega, indicating poor regeneration of timber trees, focused on commonly exploited species, leaving information gap regarding regeneration of lesser known trees in the forest. This study was done to quantify stocking and regeneration potential of some timber tree species in the forest with respect to their canopy and ecological guilds. Complete enumeration of all erect woody plants was done in four plots measuring 1 ha each in a block of the forest. Plant species composition, canopy and ecological guilds, and size classes were determined. A stand table for potential timber trees based on dbh was generated. Chi-square analysis was used to test for independence of canopy and ecological guilds. Differences in mean tree species density (Individuals/ ha) due to species type and size class category were tested for significance by two-way ANOVA (p = 0.05). There were 16 timber tree species of different guilds. Among upper canopy shade intolerant species, Prunus Africana, Antiaris toxicaria and Maesopsis eminii had poor regeneration potential while Morus lactea, Polyscias fulva and Olea capensis subsp. welwitschii had good regeneration potential. For upper canopy shade tolerant species, Tabernaemontana stapfiana and Strombosia scheffleri had poor regeneration potential while Diospyros abyssinica and Trilepisium madagascariens had good regeneration potential. For middle canopy tree species, Blighia unijugata had good regeneration potential while Teclea nobilis had poor potential. Recommendations with respect to natural forest enrichment and further research have been made.

 

Résumé 

Les études antéricures effectuées dans la forēt de Kakamega avec des objectifs ďévaluer la faible régénération des arbres à bois ďœuvre se sont concentrées sur des espèces habituellement exploiées, laissant de coté une faille ďinformations sur les espèces les moins connues dans cette forēt. Cette etude a été menée pour quantifier les reserves et la capacité de régénération de quelques espèces à bois ďœuvre dans cette forēt, tenant compte de leur futaie et leurs associations écologiques. Un inventaire de toutes les espèces ligneuses sur pied a été effectué dans quatre parcelles de 1 ha chacune, dans le massif forestier. La composition des espèces, leur futaie, leur associations écologiques et leur classes par taille ont été determines. Une table de peuplements des espèces capable de produire du bois ďœuvre basée sur le diameter à la hauteur de la poitrine (DHP) a été élaborrée. L’analyse par chi-carré a été employée pour tester l’indépendance de la futaire et des associations écologiques. Les différences dans les densités moyennes (nombre d’individus par ha) selon le type d’ espèce et la catégorie des classes étaient testées pour leur signification à l’aide de l’ANOVA (p = 0.05) à deux voies. L’étude a montré qu‛il y avait 16 espèces de différentes associations. Parmi les espèces de haute futaie ne tolérant pas d’ombrage figuraient, Prunus africana, Antiaris toxicaria et Maesopsis eminiiavec une faible capacité de régénération, tandis que Morus lacteal, Polyscias fulva et Olea capensis subsp. welwitschii possédaient une bonne capacité de régénération. Parmi les espèces de haute futaie tolérant l’ombrage figuraient Tabernaemontana stapfiana et Strombosia scheffleri qui avaient une faible capacité de régénération , tandis que Diospyros abyssinica et Trilepisium madagascariens avaient une bonne capacité de régénération . Pour les espèces ligneuses avec une futaie intermédiaire, Blighia unijugata avait une bonne capacité de régénération tandis que Teclea nobilis avait une faible capacité de régénération. Des recommendations visant l’enrichissement des forēts naturelles ont été émises. Mots clés: Forēt naturelles, espèces autochtones à bois ďœuvre, plantation d’enrichissement, forēt de Kakamega

Category
Journal Article
Keywords
Natural forest, Indigenous timber trees, Enrichment planting, Kakamega forest.
Reference

Odhiambo, K.O.; M.L. Opondo-Mbai and J.T. Njung’e (2007). Stocking and Regeneration Potential of Selected Indigenous Timber Tree Species at Kakamega forest, Kenya. Discovery and Innovation, 19(4): 312-318.

University of Eldoret Staff Profiles are comprehensive overviews or autobiographies of our employees, detailing their responsibilities, areas of expertise, contribution and impact to the community/society

Menu